Sarlat

1 13 0,3288 N 44 53 24,2124 W

Sarlat, capitale du Périgord Noir, a su conserver l’intégrité de ses bâtiments anciens et constitue aujourd’hui l’un des plus beaux ensembles médiévaux d’Europe. Inscrite dans un triangle d'or entre Dordogne et Vézère qui l'enserrent comme un delta, Sarlat, capitale du Périgord Noir, noir comme la truffe - le diamant noir - ou comme les chênes verts qui couvrent ses coteaux ou encore la terre fraichement labourée de ses vallées fertiles, semble vraiment avoir été bénie des dieux. Sarlat, dont la richesse de la vie culturelle ou de la gastronomie n'a rien à envier à la beauté de ses ruelles bordées de vieilles demeures de pierre ocre, se découvre tout au long de l'année, au rythme des saisons. A visiter : • Église Sainte-Marie reconvertie en marché couvert et espace culturel par l'architecte Jean Nouvel • Cathédrale Saint-Sacerdos (XIIe au XIVe siècle) • Chapelle des Récollets, dite des pénitents blancs (XVIIe siècle) • La Maison de la Boëtie : Pour l'élégance de son architecture Renaissance, la maison natale d'Etienne de la Boétie est le monument le plus célèbre du vieux Sarlat. • Le jardin des Enfeus (XIVe siècle au XVIe siècle) : En Europe, un enfeu est une tombe encastrée dans l'épaisseur du mur d'un édifice religieux. Il était généralement réservé aux nobles. Il peut être superposé. Des gisants peuvent figurer en dessous et/ou au-dessus. Plusieurs niches peuvent montrer le défunt à différents moments de sa vie. Des saints peuvent aussi y figurer. • La lanterne des morts (XIIe siècle), près de 10 m de haut, assez rare en France de cette taille et en cet état : Une lanterne des morts est un édifice maçonné, de forme variable, souvent élancé (comme une petite tour élancée), généralement creux et surmonté d'un pavillon ajouré (au moins trois ouvertures), dans lequel au crépuscule, on hissait, souvent avec un système de poulies, une lampe allumée, supposée servir de guide aux défunts. • Tour du Bourreau et restes partiels des anciens remparts